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19 février 2005

«Weblogs et journalisme»

C'est avec grande joie que j'ai participé à une rencontre qui a été organisée le jeudi 17 février par l'ISIC-Rabat sur le «Blogs et journalisme». J'étais ravi de rencontrer mes amis bloggers, en l'occurrence: Rachid, Othman, Anouar, Laurent, Mahassine, Benbrahim et bien d'autres que j'ai tout autant appréciés.

Je fus étonné de l'accueil, très enthousiaste, qui a été réservé par les étudiants de l'ISIC à cette rencontre dont l'organisation a été parfaite. Je félicite au passage la modératrice qui n'a pas manqué de talent en trouvant à chaque fois de bonnes transitions pour présenter les animateurs.

Voici , tel qu'il a été rédigé par une dynamique rapporteuse, le compte rendu de cette rencontre-débat «Weblogs et journalisme» :

Voir le reportage photo réalisé par les futurs Grands Reporters de l'ISIC: http://www.isic.ac.ma/weblogs/index.htm 

Texte du compte rendu :

L'Association des Etudiants de l'Institut Supérieur de l'Information et de la Communication (AEISIC) a organisé jeudi 17 février une rencontre-débat autour du thème « Weblogs et journalisme », en collaboration avec Moroccan Internet Society (MISOC), au siège de l'ISIC.

La rencontre a réuni plusieurs férus de la technologie « Blog », notamment Mlle. Anouar Ouali Alami, ingénieur EMI, M. Rachid Jankari, journaliste au portail Menara et membre du MISOC, M. Mohamed Zainabi, journaliste, M. Othmane Boumailif, médecin, ainsi que M. Rachid Issari, enseignant à l'ISIC.

Durant la rencontre, Mlle. Hasna Boufkiri, étudiante à l'ISIC et animatrice du débat, a introduit le mot de M. Benaïssa Asloun, Directeur des Etudes à l'ISIC, qui a remercié les partenaires de l'ISIC dans l'organisation de la rencontre ainsi que l'ensemble des participants. Il a en outre insisté sur le fait qu'Internet peut très bien être utilisé à des fins pédagogiques. « Les étudiants ont toujours été les premiers à se servir des médias et NTIC de tous genres, pour se repérer au milieu d'une masse prodigieuse d'informations et de connaissances », a-t-il ajouté.

Après le mot de remerciement de Mlle. Sofia Lembetten, présidente de l'AEISIC, le premier intervenant, Rachid Jankari, a présenté un mode d'emploi pour l'utilisation des blogs, dans lequel il a tenté de définir cette nouvelle technologie, d'en exposer un bref aperçu historique et de parler entre autres de l'expérience des weblogs au Maroc, notamment en langue Arabe.

Ensuite, la parole a été donnée au docteur Othmane Boumailif, médecin interne versé dans l'utilisation des weblogs. Ce dernier a repris le professeur Mahdi Mandjra, pour démontrer que la dimension de partage fait la force du Weblog. Il a aussi dressé une liste des principaux avantages et défauts du blog, par exemple le prix, le risque de fermeture, etc.

Place à présent aux expériences personnelles avec les blogs. Mademoiselle Anouar Ouali Alami, lauréate de l'Ecole Mohammedia des Ingénieurs, a présenté une véritable théorie du blog dans ses formes variées d'expression et de favorisation des relations intercommunautaires.

Quels sont les rapports du blog et du journalisme ? Est-ce que le blog constitue une menace pour la presse écrite ? Nullement, rassure Mohamed Zainabi, journaliste. « Le blog présente une façon nouvelle, insolite de l'écriture. La presse écrite, avec ses canons, demeurera toujours un média déterminant, de par son histoire et son indéniable utilité ». Zainabi exprime ensuite ses regrets concernant le manque d'encouragements de la part des officiels pour ce concept. « Nous avons le soutien des commerciaux, mais pas celui des officiels. C'est regrettable, c'est frustrant. » (Rectifs : j'avais plutôt parlé des offres commerciales (l'ADSL notamment) qui ont stimulé l'utilisation de l'Internet. Il n'y a pas d'autres encouragements à parts les efforts commerciaux consentis dans le cadre de la concurrence).

En guise de conclusion aux interventions, le professeur Rachid Issari, enseignant à l'ISIC, a détaillé la « stratégie NTIC » de l'institut. « Des ateliers de montage numérique sont en perspective, affirme-t-il. Concernant les chantiers déjà mis en branle, le module de cyberjournalisme conçu en collaboration avec l'Université Laval du Canada et l'Institut de Presse et des Sciences de l'Information (IPSI) de Tunis est en phase d'essai et sera prochainement ouvert à l'usage de tous les journalistes marocains. »

La fin de la rencontre a été marquée par un débat très étoffé, cristallisant de nombreuses problématiques, telles que l'absence d'un cadre juridique du Weblog, pour éviter d'éventuelles exactions ou dérapages, ainsi que le faible taux de connectés au Maroc, dû principalement aux prix pratiqués par les fournisseurs d'accès. L'expérience des participants en matière de blogs a également été à l'ordre du jour, constituant ainsi un véritable moteur pour encourager à la création et à l'alimentation de ce nouvel outil d'information et de libre expression.

Sana GUESSOUS

Association des étudiants de l'ISIC

Voir dépêche de la MAP sur le sujet : http://www.menara.ma/Infos/includes/detail.asp?article_id=10100&lmodule=Technologie

Voir aussi à ce sujet les blogs de mes amis : Jankari, Othmane, Coeur de lion , Youssef

 

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F
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D
APPEL A CELUI QUI AGIRA POUR SAUVER LES MALADES<br /> <br /> APPEL A CEUX QUI AGIRONT POUR SAUVER LES MALADES<br /> <br /> <br /> Ethique, Douanes et TVA sur les soins et les médicaments.<br /> <br /> Un appel civique à Ceux qui peuvent agir pour sauver les malades<br /> <br /> Mesdames et messieurs, les Conseillers du Souverain, Ministres et les Députés de la Nation, vous qui pouvez avoir l’audience et l’écoute du Souverain, cadres sains de l’Etat, vous les médiateurs et leaders d’opinion, juristes, médecins, pharmaciens, des cliniques et de l’industrie, vous les responsable des présidents des ONG, vous les garants des Partis, vous êtes responsables ! <br /> A ce titre, vous êtes sensés sentir les dols de la population et surtout de les transmettre à S.M le Roi. Nous percevons pour le Pouvoir une gloire de plus. C’est une action qui suscitera une exaltation immense en popularité, dont les bénéfices rejailliront sur tout le Peuple. Il s’agit ni plus ni moins que d’une mesure de justice. A savoir de gracier les malades en les dispensant de payer des taxes sur leurs maladies. Cette plaidoirie mérite Votre Haute Attention.<br /> <br /> Une citation<br /> <br /> « Célébrer les morts, est-ce utile aux vivants ? La civilisation est-ce de commémorer les morts ou de collectionner leurs faits et actes ? Défendre les malades à qui cela sert-il ? Supporter les malades est si lourd, mais, est-ce tellement ingrat ? Si vous dites encore que soutenir les vieux et les handicapés est une charge onéreuse et improductive, c’est que vous optez pour le meurtre et l’euthanasie ! Les Valeurs humanitaires d’un peuple se développent dans les soins attentifs aux malades et le courage exercé par tous, dans la poursuite de ce deal…Sachez qu’avant de naître, que vos enfants sont prédestinés et passibles d’une contravention originelle ! Ils assumeront des charges et des taxes que leurs parents ont laissé sévir sur leur propre santé ! » Par Mme Student, in « Chronique des gens qui passent»<br /> <br /> <br /> Le constat social<br /> Serait-il utile aux militants des Partis, à tous les Cadres Responsables du Royaume, qui analysant les événements, les idées et les actes, entre la morosité et les cataclysmes, politiciens ou telluriques, de se pencher aussi sur cette autre calamité, que sont les maladies ? Les simples maladies et leurs approches, législatives et économiques ! Médecins et pharmaciens ne suffisent plus ! Ils réclament une réforme ! Le Maroc nous regarde ! Nous sommes tous concernés !<br /> Est-il socialement productif de continuer à délaisser ce secteur vital, odieusement taxé d’inutilité, au profit d’autres factions plus dynamiques ? Est-il défendable de saborder ainsi sa base, la population de son propre pays ? Là où la souffrance réduit même les plus aisés d’entre les gens, au statut tragique d’assistés, rendant la dignité, donc la citoyenneté, à sa plus basse expression. Les Partis, par voie de fait, se transforment en collèges virtuels où des arrivistes sabordent les concepts de démocratie, en niant au peuple des quartiers leurs bons droits ! Du coup la signification même de représentants, leur crédibilité d’élus se perd ! Les milieux, ruraux, pauvres ou besogneux, dénigrés au profit d’expédients extatiques et de pétarades de salons, sont ceux qui requièrent le plus l’affection et justifient des Cadres leur temps, leur énergie et leur abnégation. Les actes de présence, les gestes de solidarité sont la base de la vie en communauté, donc de toute politique. Est-ce abâtardir les cadres et polluer leurs méninges que d’aspirer leur rencontre salvatrice avec les couches qui les ont générés ?<br /> La logique, la raison, les sentiments, la nécessité, le JUSTICE, requièrent le courage de ce retour. Le Peuple a besoin de ses fils pour reformer la famille ! Ces immersions dans les rues, les usines et les quartiers sont synonymes de rencontres entre condisciples et de proximité avec ceux qui remplissent les urnes, voire avec ceux qui avec raison s’en détournent et fuient les suffrages et les scrutins !<br /> <br /> L’appel des parents<br /> <br /> Le service humanitaire, acte altruiste de citoyenneté, est la meilleure audience pour les militants avec leurs électeurs potentiels. Le Peuple, ces simples sujets qui travaillent pour vous instruire, attendent qu’on étanche leur sueur. Ils attendent, non sans crainte d’être déçus et non sans espoir de fierté, un juste retour des sentiments de ces cadres, de ces cigognes, qu’elles refassent leur printemps ! Ils attendent que les programmes des Partis intègrent leurs soucis et leurs justes espoirs. Ils attendent que ces patriotes leur rendent justice et qu’ils lavent la honte des exactions et des abus ! Que les fils et les filles se détachent des innommables amalgames et se différencient de ceux qui les subornent et les trompent ! Que les programmes, leurs volontés écrites, soient aussi réalistes, que vrais et qu’on ne vole plus leurs droits, leurs aspirations et leurs rêves !<br /> <br /> Ils veulent que leurs besoin, les plus simples, soient réalisés. Que les élus ne soient plus que de virtuels pastiches, les uns des autres, bons à placarder les murs de fausses promesses qui restent les témoins balafrés de leurs mensonges !<br /> Et les chantiers à couvrir sont légions, dans tous les domaines, du travail à l’éducation et de la justice à la santé ! Le premier travail est de leur rendre leur confiance en soi et de régénérer un sang par trop corrompu par la paresse ! Le premier travail est de retrouver cette fierté légitime, cette richesse que nul adversaire n’avait pervertie. A commencer par chasser toutes les formes de mépris et tous les stigmates de l’humiliation : celles exogènes et celles dues au destin de tout être vivant ! Leur droit à la santé, le droit des personnes malades à être soignées, le droit de ne pas subir d’entraves ni d’être d’un système de soins, les otages muets ! Le droit de ne pas subir de surenchères, ni d’embargo sur leur santé.<br /> <br /> La santé, un droit<br /> <br /> Que dire de la santé, de l’accès aux soins, du coût des actes et du prix des médicaments, et qui plus est, des taxes que l’Etat prend sur les maladies et les malades, EN EXPLOITANT LEUR SOUFFRANCE ET LEUR MALADIE ? « C’EST UN SACANDALE ! » m’a avoué un pharmacien, en m’annonçant, ce matin, le décès d’une jeune dame, qui achetait de sa pharmacie ses médicaments anticancéreux, taxés, avant de mourir ! <br /> Les maladies représentent deux faces de la responsabilité des gestionnaires que l’on peut réexaminer sous un nouvel angle, plus moderne et plus contemporain. Celui qu’il est d’assurer les besoins communautaires en médications et celui des moyens et règlements d’approche pour l’acquisition des médicaments et des soins. Sachant qu’il ne saurait y avoir de conflit d’intérêt entre les obligations de l’état dans ses deux facettes de régulateur et de commanditaire, ni de schizophrénie entre l’offre des médicaments qu’il organise et leur accessibilité, dont il décrète les coûts, la qualité et les obligations. Or, obligé d’assurer une couverture, il ne doit pas lui être étranger d’en abaisser les coûts pour répondre aux besoins élargis. Et nous connaissons l’impact de la maladie dans la genèse de l’inconfort, du chômage, de la misère, du mécontentement social, dans l’origine des grèves, dans les troubles et dans la sédition !<br /> <br /> Il s’agit pour nous, à partir de l’AAMM, qui vous remercie de votre engagement et de votre affable soutien, entre autres associations dynamiques et ONG civiques, d’éclairer l’Etat sur un dol qu’il entretient et de faire prendre conscience à la cascade des décideurs, d’un concept nouveau, celui du DROIT DES MALADES. Nous sommes devant des punitions collectives, perpétrées selon un système organisé et des modes légalisés. Exactions aberrantes, devenues institutionnelles et inconscientes, revers d’un droit naturel mais ignoré, doublées d’un devoir oublié. Nous ne disons pas dénigré, de par notre immense espoir en notre Pays et en ses Cadres nationalistes, car ce Droit et sa solution sont simples !<br /> Ce droit légitime et naturel est celui d’être traités, sans arnaques ni surenchères, comme il devient coutumier de le lire, de le voir, de le souffrir et de le déplorer. Droit de refus nouveau et devoir de délation nôtre, doublé d’une violente condamnation face à des prélèvements coutumiers, impropres et inconséquents. Des taxes abusives dans leur concept, qui saignent les malades ! Une aberration, dès qu’il s’agit pour le fisc de frapper les médicaments et de pénaliser les demandeurs de soins ! Dès lors, il nous parait juste de ne pas laisser le malade crouler sous la chape des TAXES DOUANIERES et autre antinomique TVA sur la maladie !<br /> <br /> Reformater les taxes<br /> <br /> La loi qu’il s’agit d’exorciser, l’abcès torpide qu’il s’agit d’inciser est donc cette ostensible et publique tare de l’Etat ! Une infamie, qui aberrante déjà, obère l’accès aux soins ! C’est-à-dire qu’IL S’AGIT POUR VOUS MAINTENANT DE RAISONNER AVEC LE LEGISLATEUR, de lui demander de repenser des réglementations devenues infâmantes. Des us contreproductifs, qui freinent la santé, car ils pèsent sur l’accès aux médicaments et aux soins ! Des soins que l’Etat veut élargir pourtant par l’AMO !<br /> Un leitmotiv libératoire s’entend ! Reformater les taxes de douane et de TVA ! Ces pénalités sur les fièvres et les douleurs, ces contraintes contraires que l’Etat nous impose. Des charges superflues qui représentent entre 25 à 42 % du prix des laits de bébés et autres médicaments, cruciaux et de première nécessité ! Sauf exception ! Exonérer les médicaments que notre pays n’est pas capable de fabriquer et qu’il ne sait guère inventer ! Détaxer tous les médicaments et leurs intrants ! <br /> <br /> La chimie n’ayant pas fait d’adeptes dans les coursives de l’état, ni assez de promoteurs dans l’industrie du pays ! Des taxes donc, perçues comme autant d’exactions punitives et qui datent de l’ère qui précède celle des droits de l’homme ! Ces dissonances, artefacts fossiles, archaïques, dignes des gestions reptiliennes, sont gravement antisociales ! Ce ne sont pas nos économistes et maîtres à penser, militants es-fibres socialistes, qui nous contrediront, maintenant qu’ils sont à la barre du Ministère qui gère nos Finances ! Elles plombent l’accès aux soins. Vous m’excuserez de m’appesantir sur cette punition collective qu’on administre à la Nation ! Elle est indigne du Maroc de demain, indigne de l’Islam, civilisé antérieur et que l’on veut cautériser à présent, indigne de notre ouverture moderne. Indigne de notre tolérance, qui doit être une passion envers autrui, et d’abord envers ceux qui souffrent dans leur chair, dans leur être, dans leur santé et dans leur personne.<br /> <br /> Un exemple de " Roi"<br /> <br /> En effet, l’école de solidarité et de défense des tranches pauvres et des handicapés, exprimée avec ardeur, en temps réel et sur le terrain, par NOTRE ROI , stimule notre énergie civique. Elle éveille en nous, médecins, vos amis, admirateurs, militants et concitoyens, une volonté de voir les gouvernants et les réglementations suivre, avec réalisme et dans les actes, la JUSTE PASSION DE SA MAJESTE LE ROI ET DE LA PRENDRE EN EXEMPLE <br /> <br /> Un besoin de réformes humanitaires<br /> <br /> Réformer les concepts, c’est donc, pour l’Etat de réviser le cadre même de sa fiscalité sur les soins, à la lumière de clairvoyance de SM LE ROI. A commencer par les médicaments et leurs divers intrants. De l’usine au labo et de la pharmacie au bloc !<br /> Supprimons alors les taxes rédhibitoires qui pénalisent l’accès aux soins. Car ces prébendes usuraires sur les souffrances, génèrent de la haine et suscitent la sédition ! Ces pénalités révoltantes sur les fièvres et les douleurs, injustes et inhumaines, surmultiplient les mécontentements populaires ! Comme ces entraves augmentent notre lot d’incapacités et de handicaps, par les retards, sinon par l’empêchement des secours initiaux et dans les prises en charge ! La cherté mine le chemin des soins et barre leur administration.<br /> <br /> En défiscalisant les soins, les médicaments et leurs intrants, c’est le budget de la Santé publique, (en premier, celui des hôpitaux, civils et militaires), qui sera décuplé. Ses médicaments, ses instruments, ses réactifs. Car l’investissement dans la Santé doit être vu comme celui du Tourisme, comme des priorités aussi importantes que la fourniture du blé !<br /> Et tous les malades, du plus dramatique, au plus complexe, du moins grave au plus léger, seront dispensés de frais superflus ! La Santé s’offrira à un plus grand nombre ! Ils seront plus soignés et mieux soignés. Ils seront reconnaissants au Pouvoir qui aura libéré leur santé des contraintes ! Cette OPA, géniale, profitera à l’AMO prochaine qu’elle consolidera par des coûts de médicaments et de soins plus accessibles. Cette réforme, sur nous-mêmes et nos réglementations, est à faire en bloc et d’un seul tenant pour qu’elle soit productive et efficiente.<br /> <br /> Des lois justes<br /> <br /> En supprimant les taxes décriées, messieurs les Conseillers du Roi, vous rendez justice à l’Etat et vous rendrez sa pureté aux lois en les ré-humanisant. Agissant ainsi et conseillant de la sorte, vous rendrez les lois plus louables, plus amènes, plus convenables, plus en harmonie avec la politique de solidarité imaginée par SIDNA.<br /> <br /> En plus de la reconnaissance de la part du peuple, l’effet produira un rejaillissement psychologique sur son imaginaire et un stater sur son enthousiasme rouillant ! Un plus en sera l’effet humanitaire, qui confortera notre image au sein des Nations ! Cette reforme de la fiscalité des soins et des médicaments, sera une option curative du brouhaha généré par toutes les hausses des prix dans les hospices publics et autres ! <br /> Une chance, qui, si elle est bien pulsée, sera capable de stimuler, sans doute, cet amour pour la Patrie, qui semble en défection depuis la Marche Verte et qui se vit dans la morosité ambiante et le dégoût navrant de certains !<br /> <br /> Dr Idrissi M. Ahmed,<br /> <br /> Kenitra Président de l’AAMM<br /> ASSOCIATION DES AMIS DES MYASTHENIQUES DU MAROC<br /> 112, AVENUE MED DIOURI KENITRA MAROC<br /> Assistance : 061252005, Telfax : 00212-0-37376330, Mail : idrissi.o.a@menara.ma
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